50 Les atrocités de Vlad III - La roue : deux méthodes
Certains lecteurs, puristes, ça existe, auront remarqué une mise en page peu correcte de certains de mes textes. Pour une raison pratique, ils sont écrits en WORD. Il semblerait que le logiciel de transfert de canalblog n'aimerait pas WORD. C'est son droit ; Bogues Bug comme vous voulez. Merci à tous.
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Il inspira la légende de Dracula.
Mais il eut des précurseurs dans l’antiquité : les Assyriens, les Turcs, les Perses, les Siamois. L’inquisition l’utilisait pur les crimes de sodomie (par l’anus) et d’adultère (par le vagin).
Sa spécialité : l’empalement. Un pieu affilé dont l’extrémité était huilée et pas trop pointue (afin de ne pas mourir brutalement) était graduellement entré dans le corps par l’anus puis planté à terre et devait émerger par la bouche.
Son régal : dîner au milieu de « la forêt des empalés », trempait son pain dans le sang des victimes. D’où la légende du vampire.
Les victimes n’étaient cependant pas uniquement empalées par l’anus : autres orifices, par l’abdomen ou le thorax. Des empalements la tête en bas ont aussi été cités.
La mort par empalement était lente et douloureuse car l’acuité de la pointe, la longueur du pieu jouaient un rôle. (Des heures voir des jours).
Les cadavres étaient souvent laissés sur place pendant des mois ! A tel point qu’une armée d’invasion turque fit demi-tour en voyant des milliers de cadavres en décomposition empalés sur les berges du Danube.
En 1459 : 30.000 négociants et boyards empalés à Brasov
En 1460 : 10.000 empalés à Sibiu
En 1461 : 20.000 dans sa capitale : Tirgoviste.
Maintenant n’imaginez pas que c’était son seul amusement : enfoncement d’ongles de fer dans le crâne, membres découpés, percement des yeux, strangulation, immolation par le feu, nez et oreilles tranchées, scalper, ébouillanté vivant, livré aux bêtes sauvages, …..
Tout le monde y passait : femmes, enfants, paysans, seigneurs, ambassadeurs étrangers, négociants et boyards de Transylvanie et de Valachie.
La chasteté charnelle des femmes était un des leitmotiv des cruautés : les vierges violées, épouses adultères et veuves : mutilation des organes sexuels féminins, seins coupés, empalement par le vagin sur des pieux ardents,
Exécution d'une épouse infidèle : il fait découper les seins de la femme, puis pelée et empalée sur une place dans Tirgoviste avec à côté sur une table sa peau.
Dans un passé plus proche (1800), un certain Soleyman el-Halaby (ou Soliman), Syrien de son état assassinat le général Kléber. Son exécution ne fit pas dans la dentelle : on lui brûla les poings et fut empalé : couché sur le ventre, le bourreau fit une large incision dans l’anus, enfonça le pal à coup de maillet et fixa le corps dans un trou préparé. Il mourut après 4 heures.
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La plus ancienne : on attachait le condamné à une roue chargée de pics acérés et on installait une autre rangée de pics par terre. Ensuite on faisait tourner la roue, et le ventre ou le dos de la personne étaient ainsi transpercés.
En Europe, à partir du 16e siècle, autre méthode : attaché sur le dos sur une croix de St-André horizontale le bourreau, armé d’une barre de fer carrée ou d’un gourdin, rompait d’un coup violent les cuisses, les jambes, les bras et les avant-bras du condamné ; il terminait par deux ou trois coups sur la poitrine qui cassait toutes les côtes. Le condamné était hissé sur une roue horizontale montée sur un essieu et laissé exposé au peuple jusqu’à l’agonie.
Roués célèbres en France :
La Prusse
De nos jours :
Un supplice chinois utilisé dans des guerres en Asie.
Il demande peu d'efforts aux exécutants. Il suffit d'asseoir le sujet sur une jeune pousse, de le maintenir fermement et d'attendre.
On enfonce l'extrémité de la plante dans l'anus du supplicié et on attend qu'elle lui pousse à l'intérieur du corps.
Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 mètres
La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour.
Il n'est pas rare de le voir ressortir au niveau du cou, ou même au sommet du crâne, alors que le supplicier est toujours vivant et en proie à d'horribles souffrances.
Technique efficace lorsqu'il s'agit de tuer à petit feu sans dépenser beaucoup d'énergie.
Cette technique est employée dans la jungle, lorsque les moyens manquent pour exécuter l'ennemi. Il suffit de l'abandonner à son sort, la nature se chargeant du reste.
Elle fut cependant pratiquée aussi sur une place publique après un jugement. Ces exécutions capitales peuvent durer des heures, voire des jours entiers, pour le plus grand "plaisir" des spectateurs.
Le choix du bambou est très important et Il faut l'inciser de certaines manières. La d'immobilisation du sujet est aussi primordiale. La moindre déviation de croissance ferait ressortir la tige par l'abdomen après seulement quelques heures.
Il est possible d'éviter les principaux organes vitaux tout en occasionnant de terribles blessures internes, le but étant de prolonger l'agonie le plus longtemps, si possible jusqu'à ce que la plante ressorte par la bouche, les narines ou le sommet du crâne du sujet.