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Tortures Supplices Droits de la femme et de l'homme

2 août 2011

flash 23 Une marche des salopes à New Delhi pour dénoncer les agressions sexuelles

Une marche des salopes à New Delhi pour dénoncer les agressions sexuelles

Cette marche des salopes consiste à défiler en tenue volontairement provocante pour défier l'idée selon laquelle les victimes d'agressions sexuelles ne doivent s'en prendre qu'à elles-mêmes.

L’idée de ce mouvement est venue au Canada suite aux déclarations d'un policier de Toronto, Michael Sanguinetti, qui, lors d'une conférence devant des étudiants, avait conseillé aux femmes d'« éviter de s'habiller comme des traînées si elles ne voulaient pas se faire agresser ». Quelques 3.000 personnes avaient pris part à cette première marche des salopes.

Puis d’autres villes ont suivi le mouvement : Boston (mai 2011) Londres (juin 2011), Séoul (juillet 2011), ont également eu leur marche des salopes afin de crier haut et fort qu’une femme pouvait s’habiller aussi court et sexy qu’elle le voulait, il n’y avait aucune raison qu’elle soit agressée sexuellement pour autant.

Le 31 juillet, c’était au tour des femmes indiennes de défiler. Selon les chiffres de la police, la capitale fédérale New Delhi figure désormais en tête des villes les moins sûres du pays, avec 258 affaires de viols ou agressions recensées depuis juin dernier. Et d’après une étude menée en 2010 par la municipalité de Delhi, les Nations unies et le groupe défense des droits de la Femme Jagori (« Femmes réveillez-vous » en hindi), 85% des femmes craignent d'être harcelées et 45% évitent de sortir seules à la nuit tombée.

Si un certain nombre d’hommes avaient aussi fait le déplacement afin de soutenir les femmes de leur ville, d’autres ont estimé que dans le contexte indien, le mot « salope » n’était pas correct et que s’habiller aussi court non plus... une marche à suivre.



Pour en savoir plus : Une marche des salopes à New Delhi pour dénoncer les agressions sexuelles - Marie Claire

 

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31 juillet 2011

fLASH 22 deux hommes arrêtés pour enlèvement, séquestration et actes de torture

La Rochelle : deux hommes arrêtés pour enlèvement, séquestration et actes de torture

Les deux hommes auraient notamment transpercé la main de leur victime avec un tournevis

Les policiers rochelais ont arrêté en fin de semaine deux hommes originaires de la région parisienne.

Ils correspondaient au signalement d’une victime se plaignant d’avoir été enlevée, séquestrée et torturée. Ils lui auraient notamment transpercé une main avec un tournevis. 

Lors de leur interpellation, les deux individus ont nié les faits qui leur étaient reprochés. Le téléphone portable et le portefeuille de la victime ont cependant été retrouvés sur eux.

Le duo avait déjà eu maille à partir avec la police mardi. En état d’ébriété, ils s’étaient présentés à l’entrée du festival des Francofolies, laquelle leur avait été refusée. Le ton était monté et une altercation avait eu lieu avec les CRS, venus en renfort.

Emmené au commissariat, l’un des deux hommes avait eu un comportement particulièrement violent. Un policier avait même été légèrement blessé. L’homme avait pourtant été relâché le lendemain matin.

  Source : www.sudouest.fr

 

19 juillet 2011

FLASH 21 Mad Max condamné à 4 ans pour viol collectif

Mad Max condamné à 4 ans pour viol collectif

 

La victime avait 15 ans. L’un des auteurs a filmé son calvaire

TRIBUNAL BRUXELLES

 

 Le tribunal correctionnel de la capitale a condamné Maxime Gagah, alias Mad Max, un jeune Ivoirien de 20 ans, à 4 ans de prison ferme.

L’intéressé a été reconnu coupable d’un viol collectif perpétré à Bruxelles, la nuit du 27 au 28 juin 2009, sur une adolescente de 15 ans. La victime a reconnu qu’elle avait déjà rencontré plusieurs de ses futurs abuseurs, qu’elle s’était bien amusée avec eux et qu’elle les avait appelés pour passer une “nouvelle chouette soirée”, avec son amie âgée de 14 ans.

Quand tous se sont revus, l’ambiance était festive et les verres d’alcool ont circulé. Puis subitement, Mad Max s’est levé et a lancé : “Toi, tu prends celle-ci. Et toi, celle-là !”

Les adolescentes ont été descendues de force dans une cave et les futurs abuseurs ont fait connaître leurs exigences.

Les victimes ont supplié et un des auteurs est remonté avec la plus jeune à qui il n’arrivera rien, par miracle. Par contre, la seconde sera battue et subira des viols complets. L’un des abuseurs a filmé son calvaire. Elle aura beaucoup de mal à décrire le drame aux enquêteurs, disant craindre des représailles et avouant qu’elle se sentait coupable d’être à l’initiative du rendez-vous.

Plus tard, dans une nouvelle audition, elle retirera sur ses accusations et fera état de rapports sexuels librement consentis. Mad Max a toujours nié toute culpabilité.

Le tribunal a cependant estimé que le dossier était suffisamment étayé pour entraîner sa conviction. Ses complices étaient mineurs. Le prévenu est également détenu pour un autre dossier.

 

Jean-Pierre De Staercke

 

SOURCE : WWW.DHNET.BE

 

 

 

21 avril 2011

Flash 20 Son calvaire a duré 15 heures

Son calvaire a duré 15 heures

Bruxelles

Le jugement de 2009 détaille l’extrême violence physique et sexuelle subie par Delphine livrée pendant 15 heures à ces sept hommes, comme l’introduction du goulot d’une bouteille et les brûlures de cigarette.

Un suspect admet l’avoir “frappée pendant 20 minutes environ”. Delphine a aussi dû pratiquer le sexe oral “avec la bouche en sang”. On parle de “tortures”.

Pour forcer l’excitation, ils lui firent porter certains gadgets tout en visionnant des films hard. À un moment, Delphine a été violée par trois simultanément tandis qu‘un quatrième la photographiait avec son GSM.

Cessons : on comprend ainsi l’émotion de Delphine d’apprendre que cinq des sept sont libres.

Delphine tenta de s’échapper par la corniche. Elle fut reprise et punie, “mise à quatre pattes pour subir, sous la moquerie, de nouveaux assauts”.

Des détails – et d’autres impubliables – figurent dans le jugement qui fait état de viol avec tortures et de traitements inhumains tout en stigmatisant “le mépris et l’attitude nonchalante au procès des inculpés”.

Un était connu pour le viol d’une fille de 15 ans, trois pour vols et stupéfiants. Au final, un des sept est interné, un a écopé de 6 ans qu’il purge. Les cinq autres ont écopé de peines fermes de 4, 5 et 6 ans, mais le tribunal n’ordonna pas l’arrestation, en sorte qu’ils sont libres, en effet, attendant depuis janvier 2009 que s’ouvre le procès en appel, en principe en septembre devant la 11e chambre.

Me Hamid El Abouti défend Delphine. Me Nathalie Gallant, qui défend l’un des sept, estime “logique qu’ils soient en liberté, vu qu’aucune décision définitive n’a en effet été rendue”.

Source : www.dhnet.be

 

 

 

 

 

 

 

5 avril 2011

Flash 19 Au Qatar, ça ne rigole pas !

Au Qatar, ça ne rigole pas !

 

Une Bruxelloise a passé 12 h en prison

Une Belgo-Iranienne de 42 ans a passé 12 heures les 14 et 15 mars dans un centre de détention pour femmes de Doha, au Qatar. Dans le vol Bruxelles-Téhéran faisant escale dans l’émirat, Naïma Fakhri, émoustillée par de la fumée de cigarette dans les toilettes arrière de l’appareil, n’a pu résister au désir irrépressible d’en allumer une. Mais un service d’ordre l’attendait à Doha.

Pour des spécialistes du transport aérien, l’incident aurait dû se régler par une forte amende et l’interdiction de voler sur la compagnie – Qatar Airways. Rencontrée hier par la DH , la Bruxelloise explique qu’elle a été conduite en ville à Doha où elle a été détenue entassée dans un centre de détention – avec des droits communs incarcérés pour racolage, prostitution, vol, drogue.

Sans possibilité offerte d’appeler un avocat, l’ambassade ou le consulat de Belgique.

Sans l’assistance d’un interprète – Naïma pratique l’iranien et le français, pas l’arabe ni l’anglais. Sans proposition de contacter son mari à Bruxelles.

Sans médecin – alors que choquée dans l’avion déjà par l’ampleur que prenait l’affaire –, la Bruxelloise avait fait une syncope ayant nécessité l’application du masque respiratoire, la prise de sa tension et l’intervention d’un médecin belge passager. Naïma Fakhri a été relâchée après une nuit et une matinée de détention, sans restitution de son passeport par la police. Depuis la veille, elle n’avait reçu ni à boire ni à manger.

Elle a pu satisfaire ses besoins en prison dans des installations sanitaires peuplées de cafards (dont certains de belle taille) grouillant sur les murs et le carrelage.

De retour en Belgique, la Bruxelloise est sous le choc. “Tout ça pour une cigarette que j’ai éteinte tout de suite, avant d’ouvrir la toilette de l’avion. Évidemment, j’étais en tort. Mais en prison pour ça ?”

La Belgo-Iranienne dit que les autorités de Doha “se sont constamment adressées à elle avec brutalité”. Reconduite le lendemain à l’aéroport, elle y a été “abandonnée à l’entrée Departures […] On m’a jetée avec de grands gestes, comme pour chasser des mouches”.

Son passeport était conservé par le service de l’immigration installé dans la zone de transit de l’aéroport… où, puisque sans pièce d’identité, elle n’avait pas accès, ce qui a nécessité 4 heures supplémentaires de tractations et lui a fait manquer les vols suivants vers Téhéran.

En rapport avec l’incident, les autorités qataries ne lui ont remis aucun document officiel de type P-V d’audition. Naïma Fakhri, dont le mari restaurateur tient une brasserie connue à Bruxelles, a néanmoins pu récupérer ses bagages.

Gilbert Dupont

www.dhnet.be

 

 

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23 mars 2011

Flash 18 Violée au pied du Palais de Justice

Violée au pied du Palais de Justice

 

La victime a été jetée à la rue, complètement nue

BRUXELLES

Sabine L. est âgée aujourd’hui de 49 ans. Le soir du 8 mai 2009, alors qu’elle passait devant le CPAS (Centre Public d’Aide Sociale) de Bruxelles-Ville, c’est-à-dire sur la très fameuse rue Haute, elle a été accostée par trois individus, dont l’un lui a pointé un couteau dans le dos.

Le trio a forcé la victime à marcher jusqu’aux appartements sociaux de la ville, juste au pied du Palais de Justice, rue des Minimes.

Elle y a été violée par chacun de ses agresseurs et par un quatrième qui se trouvait déjà dans l’appartement. Elle a été rouée de coups aussi.

L’un l’a menacée avec un pistolet sur la tempe et l’a frappée sur la tête avec une bouteille. Elle a pu s’enfuir vers 2 heures du matin mais le quatuor l’a empêchée de reprendre ses vêtements.

Nue en rue, elle fut secourue par un SDF (Sans Domicile Fixe) qui lui prêta son pantalon et par une dame qui lui prêta un tee-shirt.

Dès qu’elle a pu, elle a appelé la police et une patrouille est arrivée dare-dare rue des Minimes, à l’endroit renseigné.

Les policiers ont emmené deux hommes qui se trouvaient encore dans l’appartement, Fathi Hosni, 42 ans, et Rachid Jeridi, 25 ans.

La quadragénaire les a immédiatement reconnus comme faisant partie du groupe de ses agresseurs.

Ceux-ci se sont contredits entre eux. Les vêtements de la victime avaient également été retrouvés dans l’appartement investi par la police.

Le tribunal a condamné Fathi Hosni à 5 ans fermes pour viol et coups et Rachid Jeridi à 4 ans, sans sursis, pour viol.

Leur arrestation immédiate a également été ordonnée.

Jean-Pierre De Staercke

Source : www.dhnet.be

 

 

7 mars 2011

63 Erzebet Bathory

Erzebet Bathory

 

En français Elisabeth. Au XVIe siècle membre d’une des plus grandes familles aristocratiques de Hongrie.

Elle avait l’habitude de passer ses crises de nerfs sur ses servantes. Si elles commettaient la moindre faute, un ourlet mal fait c’était planter des épingles sous les ongles te aussi sur les seins. Si une servante la chaussait mal, elle n’hésitait pas à repasser au fer rouge les pieds de celle-ci.

 

Elle était passionnée de sorcellerie et de satanisme.

Autre perversion : supplicier les jeunes femmes vierges. Elle croyait en s’enduisant de leurs sangs ou en les buvant qu’elle serait encore plus fertile (Elle avait cependant déjà 4 enfants !). Pour cela, elles étaient enfermées dans les célèbres vierges de Nuremberg dont j’ai déjà parlé dans ce blog.

 

Sa mort : le roi Matthias 1er apprend les frasques de sa cousine. Elle est condamnée à mort et emmurée dans son propre château.

 

P.B.

7 février 2011

flash 17 Le tyran domestique la violait Des viols commis à l’aide d’un tournevis

Le tyran domestique la violait

Khalid disait à sa victime qu’elle serait mise en prison si elle se plaignait de ce qu’il lui faisait.

LIÈGE (Belgique)

Khalid, 51 ans, a comparu devant la cour d’appel pour répondre de viols, de coups et de menaces sur son épouse. L’intéressé doit répondre de faits particulièrement désagréables. L’enquête a commencé suite à la plainte de sa compagne en 2009.

La dame a expliqué lors de l’enquête avoir épousé Khalid au Maroc après un mariage arrangé par leurs familles en 2007. Après le mariage et le retour en Belgique, la dame aurait été transformée en véritable esclave.

Khalid lui aurait interdit de faire venir des personnes dans leur maison, de suivre des cours et il lui aurait refusé d’avoir de l’argent. La dame a également expliqué qu’elle était battue et violée par sodomie pratiquement tous les jours.

Des certificats médicaux confirment les coups, une trace de morsure et des lésions anales. Deux témoins ont confirmé que la victime s’était confiée à eux.

De plus, Khalid lui aurait dit qu’elle se retrouverait en prison si elle se plaignait de son sort. Devant la cour, Khalid a nié les faits.

Pour appuyer son témoignage, il a expliqué que sa religion lui interdisait la sodomie. “Je suis innocent, c’est de l’injustice. Elle m’a épousé pour avoir des papiers”, a-t-il déclaré.

Le parquet de Liège a requis 5 ans de prison ferme contre l’intéressé qui n’a cependant pas d’antécédent. L’avocat Me Vanden Eyden, à la défense, a estimé qu’il était possible que les traces de lésions aient pu être produites par d’autres causes que des viols et il en va de même pour les hématomes. Ces derniers auraient pu être occasionnés en faisant des tâches ménagères. Il a plaidé l’acquittement ou le sursis pour l’accusé.

Sarah Rasujew

Source : www.dhnet.be

Des viols commis à l’aide d’un tournevis

TORTURES

René est jugé pour avoir imposé les pires sévices à sa compagne

La cour d’appel de Liège a examiné un dossier particulièrement choquant à charge de René, 51 ans.

L’homme connaît de graves troubles sexuels et comportementaux. De 2008 à 2009, il a fait vivre un enfer à sa compagne de l’époque. La victime gardera non seulement des séquelles psychologiques, mais aussi physiques.

René n’a pas hésité à violer sa compagne avec un tournevis ! Il lui a introduit l’objet dans le vagin, mais aussi dans l’anus, provoquant des blessures irréversibles. Il lui a également brûlé le pubis avec un briquet…

Des faits qu’il commettait car il connaissait des problèmes d’éjaculation. Ainsi, lors des rapports sexuels qui semblaient au départ classiques, lorsqu’il n’arrivait pas à éjaculer, il faisait subir ces atrocités à la victime !

Pour couronner le tout, à l’époque la dame souffrait d’un cancer. Entendue, René l’avait tellement brisée qu’elle ne souhaitait plus qu’une chose : mourir ! Elle était complètement sous son emprise. Le pire, c’est que la précédente compagne de l’intéressé a été victime des mêmes comportements déviants…

René est d’ailleurs en récidive légale pour avoir été condamné pour des faits de la même nature. Le parquet a requis une peine au minimum de 8 ans de prison, tout en rappelant que la loi permettait de condamner l’intéressé à une peine allant jusqu’à 20 ans.

René est en aveux mais a expliqué qu’il buvait à l’époque et que, depuis, il se rendait compte de la gravité des faits. La défense a plaidé la clémence.

S. R.

www.dhnet.be

15 janvier 2011

Flash 16 Exorcisme mortel : six personnes vers les assises

Exorcisme mortel : six personnes vers les assises

Le parquet général veut que l’exorciste et 5 complices y soient jugés pour “tortures”

BRUXELLES

Six ans après le décès d’une jeune femme lors d’un exorcisme, le parquet général de Bruxelles demande le renvoi de six inculpés devant la cour d’assises, dont l’exorciste, pour faits de « tortures, en l’occurrence un traitement inhumain délibéré qui provoque une douleur aiguë ou de très graves ou cruelles souffrances physiques ou menaces, en causant la mort sans intention de la donner ». Une première en Belgique.

Selon le parquet général, l’exorcisme a duré “entre le 11 juin 2004 et le 6 août

2004”

, deux mois durant lesquels la victime s’alimenta de yaourts.

Latifa Hachmi ne pouvait avoir d’enfant. Pressée par son mari, la jeune femme de 23 ans ne s’adressa pas à un médecin. Mais à La Plume, une ASBL schaerbeekoise qu’Aznagui animait.

Pour ce dernier, Latifa était possédée par le démon et la seule façon de l’éliminer était de lui faire boire de l’eau imprégnée de lectures coraniques.

Et de la faire vomir… étant entendu que les vomissements, c’est le djinn (créature surnaturelle en général invisible dans la culture islamique) qui sort.

Les séances dites de purification ont duré 56 jours. Au décès le 6 août, le légiste décèle des coups multiples au visage de Latifa et sur le cuir chevelu, des traces d’asphyxie et de strangulation sur le cou, un œdème cérébral, un œdème pulmonaire, 43 coups sur les jambes et autant sur les bras.

Latifa a visiblement cherché à se protéger en se roulant en position fœtale. La dernière roquia (séance d’exorcisme) a duré 36 heures. Latifa a eu droit à un lavage de cerveau avec baladeur collé sur les oreilles 24 heures d’affilée avec répétition en boucle des mêmes versets. Les coups ont été portés au moyen d’un bâton rituel , sans doute un manche de brosse couvert d’“inscriptions divines”.

Pour chasser le démon, il fallait le frapper en visant les endroits du corps où il se manifestait. Un autre procédé consistait à l’extirper à la main du fond du vagin ou alors par la bouche en enfonçant les doigts dans la gorge “en descendant vers le cœur”.

Quand Latifa fut plongée dans une baignoire, l’aide exorciste, Xavier Meert, un converti, devait l’empêcher de se débattre en lui liant les poignets et les genoux et en maintenant la tête dans l’eau. Latifa fut giflée par son mari. Enfin, le 6 août au matin, quand elle perdit connaissance, ce dernier a encore voulu la réanimer en poussant sur son ventre; l’équivalent de trois verres a jailli par la bouche.

Gilbert Dupont

Pour le texte complet :

http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/338919/exorcisme-mortel-six-personnes-vers-les-assises.html

10 janvier 2011

Flash 15

Lyon: écroué pour avoir torturé sa compagne soupçonnée d'infidélité

Un Algérien de 22 ans a été mis en examen et écroué mardi à Lyon pour tortures et actes de barbarie sur sa compagne, qu'il a frappée et brûlée avec des couverts chauffés à blanc, la soupçonnant d'infidélité, a-t-on appris de source judiciaire.


Terrorisée par ces actes commis fin décembre à Lyon, la jeune femme, également Algérienne, n'a toutefois porté plainte que trois jours plus tard après s'être finalement rendue aux urgences.


Brûlée aux bras et sur plusieurs parties du corps avec une cuillère et un couteau chauffés sur la cuisinière, la jeune aide cuisinière de 21 ans s'est vu prescrire 15 jours d'interruption temporaire de travail.


L'accusant d'avoir une liaison, son concubin, dont elle a eu deux enfants, l'avait violemment frappée au visage, lui fracturant le nez avant d'entreprendre ces sévices. Il lui avait notamment écrasé son mégot de cigarette sur le front.


Interpellé alors qu'il tentait de rentrer chez lui, le jeune homme, sans profession, a reconnu les faits tout en tentant de les minimiser.
Le couple vivait en France depuis trois ans.

www.leparisien.fr

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  • La torture a été interdite par l'Assemblée générale de l'ONU le 12 décembre 1984 et le texte est entré en vigueur le 26 juin 1987 corroboré par la 3e Convention de Genève ..... Histoire et analyse des supplices, tortures et autres depuis l'antiquité
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