17 Ahmad Shah Massoud La chaise électrique supplice de l'écrasement

Sommaire

Ahmad Shah Massoud dit le Commandant Massoud

La chaise électrique

Délices chinois : le supplice de l'écrasement. : 

Assassinats de personnalités (nouvelle rubrique)

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Ahmad Shah Massoud dit le Commandant Massoud

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Ahmed Shah Massoud mort le 9/9/2001 à 48 ans (était le commandant de l'Alliance du Nord afghane, du Jamiat-Islami et chef de l'Armée islamique, armée ayant combattu contre l'occupation soviétique et ensuite le régime des talibans.

Son surnom du « lion du Panshir », vient du fait qu'il avait réussi à repousser sept attaques d'envergure des troupes soviétiques contre sa vallée du Panjshir et aussi de sa personnalité : seul un caractère bien trempé pouvait envisager de lutter seul contre les talibans et seul un esprit avisé pouvait, tout en étant musulman pratiquant, lutter contre les fondamentalistes.

Lui seul pouvait imaginer la « libération » des femmes afghanes « en respectant la volonté du peuple afghan ». (c'est-à-dire le maintien de la soumission féminine).

Ancien étudiant du lycée français de Kaboul, où il avait appris le français, avant de faire des études d'ingénieur du génie civil à l'École polytechnique de Kaboul. Il voulait devenir architecte.

Il rejoint la Résistance et la clandestinité en 1973 après le coup d'État fomenté par le prince Daoud. Pendant 5  ans, il se bat avec à peine une centaine d'hommes, armés de fusils du début du 20^e siècle

Les communistes prennent officiellement le pouvoir en 1978 et en 1984 en pleine guerre contre les Soviétiques, Massoud crée et prend la tête du Conseil de surveillance, qui va  devenir le véritable centre politique de tout le nord de l'Afganistan (15 des 29 provinces afghanes) avec des attributions très larges. Tacticien et un stratège hors pair il fut le seul  à avoir réussit à imposer une trêve avec l'Armée Rouge en échange de son retrait.

Il négociait alors directement avec Youri Andropov, un des plus fameux directeur du KGB et Président du Comité Central du Parti Communiste.

Indépendant et opposé aux extrémistes religieux ou politiques, il a toujours eu des relations tumultueuses avec les Pakistanais, les Américains, les Saoudiens, comme avec les tendances pro-iraniennes ou pro-saoudiennes de son propre parti, le Jamiat-Islami.

Contrairement aux Britanniques et aux Français, les Américains ne lui faisaient pas confiance et ne lui envoyèrent que très peu de Stinger qui a été une arme déterminante dans la résistance.

Son assassinat

Il a été tué dans un attentat suicide le 9/9/2001 à Khwadja Bahuddin, des terroristes (voir détails en fin de page) avaient pu l'approcher en se faisant passer pour des journalistes munis de faux passeports belges.

Sa mort a précédé de deux jours les attentats du 11 septembre 2001 aux U.S.A. ; on peut penser que les deux événements étaient coordonnés.

L'élection présidentielle afghane d'octobre 2004 montre que sa présence aurait modifié les rapports entre l'armée des occidentaux et le peuple afghan, mais aussi l'attitude indisciplinée des seigneurs de guerre afghans, et le « renouveau » des talibans. A plusieurs reprises, il avait essayé d'attirer l'attention de la communauté internationale sur le danger représenté par Oussama ben Laden.

Circonstances de l'assassinat

Le Franco-tunisien Adel Tebourski a fourni visas, passeports et devises à Abd el-Sattar Dahmane et Bouraoui el-Ouaer, les deux faux journalistes. Lors de son procès, il a admis avoir été l’« ami » d’Abd el-Sattar Dahmane, à Bruxelles, où il a vécu de nombreuses années. Mais il a nié avoir été au courant de l’assassinat.

Après quatre ans en détention provisoire, il a été condamné en mai 2005 à six ans d’emprisonnement pour « association de malfaiteurs liée à une entreprise terroriste ». Irréprochable durant ses cinq années derrière les barreaux, d’entraide), et a finalement  purgé sa peine en France avant terme (remises diverses de peine). Mais le jour même de la fin, le ministère de l’Intérieur français lui a notifié un arrêté d’expulsion en urgence absolue, déchu de sa nationalité française afin d’être expulsé vers la Tunisie. Un pays que les associations de défense des droits de l’homme accusent de pratiquer la torture et que le rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture a dénoncé, le 19 août 2005, pour les « mauvais traitements pratiqués  sur les suspects de terrorisme ».

C’est en s’appuyant sur ces menaces que diverses associations ont déposé pour Adel Tebourski une demande d’asile auprès de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Ils ont également saisi la Cour européenne des droits de l’homme et le Comité contre la torture des Nations Unies, pendant que son avocat demandait la suspension de l’arrêté d’expulsion. Sans succès.

Les autorités tunisiennes l’ont à leur tour condamné à deux fois cinq ans d’incarcération et deux fois 5 000 dinars d’amende.

Deux autres jeunes Tunisiens déclarés non coupables de charges de terrorisme mais renvoyés en Tunisie ont eux aussi été condamnés à cinq ans de prison par la justice tunisienne. Selon un observateur français il n'y aurait pas eu de violences perpétrées contre ces personnes.

Documentations : http://www.wikipedia.org et http://www.afrik.com

Liens

• Hommage à Massoud       Un site en son hommage

haise électrique

La première chaise électrique, qui a été utilisée pour exécuter William Kemmler en 1890, inventé et utilisé essentiellement aux

U.S.A.

Son usage a largement été abandonné de nos jours au profit notamment de l'injection létale dont j'ai déjà parlé.

Cependant elle reste un des moyens légaux d'exécution pour les états de l'Alabama, de Floride, du Nebraska, de la Caroline du Sud,  du Tennessee et de la Virginie. Pour le Nebraska, c'est la seule méthode officiellement utilisée.

Description

Le condamné à mort est assis et ligoté sur une chaise spéciale. On lui applique des électrodes sur le crâne rasé et sur une partie du bas du corps débarrassé des vêtements.

Une meilleure conductivité est assurée par la mise en place d'éponges imbibées de solution conductrice (électrolytes) dans les électrodes, anciennement on se contentait de mouiller la zone de contact.

Il y eut, dans le passé des accidents dus à la mise en place incorrecte de la solution conductrice ou à des contacts défectueux dans les électrodes. Dans ce cas, l'agonie du condamné se prolonge, et les chairs à l'endroit de mise en place de l'électrode peuvent brûler et dégager de la fumée.

Pour ces raisons, la chaise électrique, initialement considérée comme un moyen d'exécution moderne et propre a été très contestée puis abandonnée dans la plupart des états qui l'utilisaient.

Exécutions ratées :

Floride en 1990, 1997, 1999

Au cinéma le film la Ligne verte montre une scène particulièrement impressionnante

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Supplice de l'écrasement en Chine ancienne

Un concessionnaire fut condamné au supplice de l'écrasement

Le supplicié fut tiré de sa prison et amené dans un des préaux où était déposé l'instrument du supplice, deux meules superposées entre deux vis énormes manœuvrées  à l'aide d'un tourniquet.

Le corps du condamné allongé sur la meule du bas, on manœuvre celle du haut qui rejoint le corps continue à manœuvrer et la supplicié est totalement broyé.

A consulter aussi : http://www.heresie.com

Photos colonne de droite